AYA NAKAMURA

Nakamura est une chanteuse née le 10 mai 1995 à ya Nakamura is a singer born May 10, 1995 in Bamako, Bamako au Mali. Alors qu’elle est enfant, ses parents emménagent en France. La famille, une famille de griots (des conteurs-chanteurs) s’installe à Aulnay-Sous- Bois. La jeune fille vit dans un foyer baigné de musique ce qui lui permet de développer son propre univers mais surtout de se lancer elle aussi dans la chanson. Elle se choisit le nom de Nakamura, en hommage à un personnage de la série «Heroes», Hiro Nakamura.

Poussée par ses envies Aya Nakamura écrit rapidement ses premiers textes et ses premières chansons. Elle utilise alors les réseaux sociaux pour connaître l’avis du public. Deux de ses premiers titres sont particulièrement remarqués, «Karma» et «J’ai mal».

La jeune femme écrit sur des sujets qui la préoccupent comme les relations ou l’amour. Après avoir atteint 3 millions de vues avec «J’ai mal», Aya Nakamura décide de se lancer à fond dans la chanson.

PRESTON

Aurélie Preston naît à Paris en 1992. Sous le signe d’une enfance arrachée, elle échappe à l’orphelinat grâce à sa grand-mère qui la récupère in extremis à 18 mois. A 24 ans, en auto-production, avec une exigence de self-made woman à l’américaine, Preston sort son premier projet « Cérébral ». Les clips de son EP atteindront les 6 millions de vues. Puis en 2019, Preston sort son deuxième EP « Aphorisme » qui lui permet de passer la barre des 10 millions de vues sur sa chaîne Youtube.

Aujourd’hui Preston revient avec un 3ème EP, « Phoenix », essentiellement produit par Laylow & Wit. Laylow apporte son style futuriste largement plébiscité à la chanteuse Preston pour un track de Futur R&B en feu sur « Blanca ». Production impeccable, couleurs RnB sous les infleunces d’un riddim légèrement dancehall, synthés saturés sur le refrain, voix cristalline posant un texte à double sens évoluant entre la blanche et les champs de coton. On retrouve également le producteur Jack Flaag qui avait réalisé « DKR » de Booba derrière le titre « Pas là » de Preston.

« Phoenix », un EP 6 titres à découvrir dès maintenant !

KALISTA SY

COMÉDIENNE

Maîtresse d’un homme marié, la série sénégalaise devenue culte à travers le monde grâce à Kalista Sy. Racky, Cheikh Marème Lala, Birame, Djalika, des personnages attachants, hauts en couleur incarnant des faits de société sous le soleil du Sénégal. Avec 1 500 000 vues en moyenne par épisode, la série est produite en wolof et sous- titrée en français. Un carton sur Youtube. Conviant chaque téléspectateur à la réflexion autour de sujets sensibles et variés, des tabous y sont brisés. Montrer à l’écran des scènes relevant de l’intimité d’une chambre, aborder les thèmes de la polygamie, la dépression, l’émancipation et la violence faite aux femmes, du jamais vu au pays de la Teranga ! Dans un pays musulman à 90 %, la série divise. Ses adeptes l’apprécient pour « ses scènes réelles », ses opposants s’ insurgent contre ses mœurs légères visibles à l’écran. Considéré comme une perversion pour la jeunesse, l’ONG Jamra et le comité de défense morale du Sénégal ont demandé des sanctions et exigé la censure du feuilleton. « Aujourd’hui, c’est une fierté de savoir que nous sommes capables, en tant qu’Africains, de créer des produits qui marchent…du contenu moderne, une très belle direction artistique et un magnifique jeu d’acteur. Avec la série, beaucoup veulent découvrir le Sénégal. C’est une fierté. Marodi TV, aujourd’hui, est la première plate-forme digitale d’Afrique francophone, avec plus de 2 300 000 abonnés. Et c’est bien encourageant. Il suffit d’y croire et de mieux s’organiser pour réussir le pari, de raconter nous-mêmes nos histoires.» Journaliste, scénariste et réalisatrice, Kalista Sy y a cru et a réussi son pari

" Aujourd’hui, c’est une fierté de savoir que nous sommes capables, en tant qu’africains, de créer des produits qui marchent "

COCO MUPALA

CHANTEUSE

Coco Mupala, chanteuse congolaise, donne le ton sur son art de penser et de vivre sur sa page Facebook. Un monde de liberté, coloré où se croisent la pop, la rumba congolaise, le Rnb, gospel et sonorités africaines traditionnelles. Bienvenu chez Coco ! Elle grandit dans une famille d’artistes dans laquelle le gospel tient une place importante. Entourée des siens, ses proches détectent rapidement les prouesses vocales de la petite Coco et l’encouragent à persévérer vers la voie musicale. Premier challenge, premier défi relevé et assuré à 15 ans en participant et en remportant le concours « La nouvelle voix ». Les années passent, Coco s’investit dans ses études et décroche son diplôme en master management des entreprises. Coup double pour la belle qui cumule désormais talent artistique et réussite dans les études supérieures. Avec ces deux cordes à son arc, Coco a l’embarras du choix et privilégiera pour le plus grand bonheur de ses fans sa passion pour la chanson. Signée par la Maison de disques Universal Music Distribution Deal, Coco a sorti en 2019 son premier EP intitulé « Comme tous les Week-ends » . Le titre Africa y apparaît comme un véritable hymne d’amour à sa terre natale. « Le seul moyen d’être heureux et sage, c’est de vivre en mettant ses rêves au centre de sa vie ». Coco Mupala, une « artiste sage » à découvrir sur les plate-formes Spotify, Youtube, Deezer

BOUKKO

ARTISTE PEINTRE

En 2020, B.Boucau devient Boukko. Boukko laisse parler son imaginaire sur tous types de supports (vêtements, chaussures, murs, meubles…) et peint sa première toile à Paris, sa ville natale. Il part toujours d’une simple idée pour en créer un concept et ne se fixe aucune limite dans sa création en disposant parfois de vrais matériaux pour apporter de la puissance à ses œuvres. Dans le mouvement de l’Art Contemporain, son style est entre la Figuration Libre et l’Art Urbain. Il utilise principalement de l’acrylique en pinceau et des aérosols. La plupart de ses oeuvres sont finies d’une résine donnant un aspect laqué, vitré, très moderne et précieux. Avec beaucoup d’ironie, Boukko aborde à travers sa peinture de multiples sujets, et passe ses messages via les personnages issus de sa création appelés ‘Boukus’ , inspirés en parti de la célèbre statue Belge “Manneken-pis” qui représente à ses yeux le symbole de la liberté et de l’ indifférence du système. On peut retrouver ses personnages dans plusieurs contextes. Créatif et manuel, il conçoit et fabrique des séries de meubles pleines de charme, où il allie art et design qu’il qualifie de « récupération de luxe ». Vous pouvez retrouver ses créations, être au courant des nouveaux événements et vous faire plaisir en vous offrant des cadres et divers accessoires et produits dérivés en série limitée sur son site en ligne. www.boukko.com

" Manneken-pis” le symbole de la liberté et de l’ indifférence du système. "