TINA LY

chanteuse

Tina Ly,  20 ans de carrière musicale et femme épanouie  ! A l’occasion de ses 20 ans carrières, la jolie artiste guyanaise Tina Ly a offert à son public, en octobre dernier,  un tout nouveau single en featuring avec Jude Delouches du groupe haïtien VAYB. Un duo, une belle balade tropicale aux rythmes du zouk et du kompa et un refrain original. Née le 4 mai 1979,  d’un père métropolitain et d’une mère vietnamienne, Tina grandit en Guyane. Attachée à ce territoire, la belle est dans son coeur guyanaise et tient à se rendre dans son pays natal tous les trois ans. Des racines fortes, un amour pour la musique suscitée par son père et son frère, tous deux auteurs compositeurs, construisent l’artiste et l’amène dès l’âge de huit ans sur les plateaux télévisés  et des podiums  sur lesquels elle interprète les autres morceaux  composés par son père. « Fallait te quitter pour apprendre à rêver, fallait te quitter pour apprendre à m’aimer » des paroles signant  la reconnexion à soi et à la positive attitude. Un texte universel à la portée de tous. Au-delà de la souffrance qu’elle peut engendrer, la rupture sentimentale  serait bénéfique. Tout est une question de conception. Se séparer pour mieux se retrouver. Une dynamique originale et moderne chantée par les deux artistes, très éloignée du traditionnel zouk love, « je t’aime, ne me quitte pas, je ne peux vivre sans toi ». Après  Tina en 2001, Dis moi tout en 2003, Couleurs du monde en 2009, place à 2020 avec une douceur sucrée « Fallait te quitter » … pour mieux me retrouver pourrait-on ajouter.

NICHOLLE KOBI

Illustratrice - designer

Son nom peut vous être encore inconnu, mais ses œuvres ne passent jamais inaperçues. Vous les avez sans doute remarquées, ces jolies femmes noires mises en scène sur papier glacé et immortalisées dans les actes de leur vie quotidienne. Accomplie, branchée et moderne, cheveux au vent, la femme Kobi est conquérante, épanouie, glamour. Seule, en couple, avec enfants ou entre copines, Miss Kobi est active, positive, prend soin de sa personne et est représentative de la femme moderne. Mais qui se cache derrière ces personnages charismatiques ? Originaire du Congo Kinshasa, après une enfance passée en Normandie, à Paris, notre belle illustratrice franco-congolaise prendra la direction définitive de New-York pour promouvoir ses œuvres et développer sa créativité. En quelques clics sur Internet, entrez dans l’univers Kobi. Une artiste engagée auprès de la femme noire. S’il est bien connu que les enfants prennent pour modèles ceux présentés, la petite Nicholle se nourrit dès son plus jeune âge des femmes du magazine Amina qu’elle prend plaisir à reproduire en un coup de crayon.

Les années passent. Toujours aussi passionnée par le dessin, la jeune femme commence des études en histoire de l’art. Seul ombre au tableau, ses professeurs jugent ses croquis peu vendeurs car représentant une minorité. Abattue, Nicholle se réfugie dans le secteur bancaire pendant près de 10 ans sans oublier sa passion pour le dessin.

"Une artiste engagée auprès de la femme noire."

Le temps de la révélation.

En arrêt maladie pendant sa troisième grossesse, un déclic… Interpellée par l’image sexualisée et caricaturale de la femme noire dans les médias, Nicholle sur un coup de crayon revient à ses premiers amours en redessinant les contours de cette femme si familière. Exit l’image sexualisée et clichée, place à la femme entrepreneure, cultivée, forte, en couple, audacieuse et heureuse. Inspirée par le sujet et créative, ce seront pas moins de 4 à 6 dessins postés par jour sur Instagram. Utiliser l’art comme vecteur de communication mondial pour représenter dans toute sa splendeur, la spécificité, les caractéristiques, le naturel et casser le cliché réducteur de la femme noire, tel est l’engagement personnel pris par Nicholle. Ému par ce nouveau visage et cette revalorisation, le travail de Nicholle est très vite remarqué et plébiscité de tous. Suivi aujourd’hui par plus de 140 000 abonnés sur Instagram, devenue à elle seule un symbole, une marque, l’empire Kobi ne cesse de croître et de diffuser son essence à travers le monde au travers de vêtements et d’objets fonctionnels divers (mugs, totes-bag, trousses) . Invitée au grands défilés de mode à Paris, organisatrice d’expositions, partenaire pour les plus grands magazines américains (Essence magazine) et des studios de télévision ABC, plus que jamais, le concept Koby plaît et conquit au fur et à mesure tous les cœurs même ceux qui étaient au départ les plus réfractaires. « Ne baissez pas les bras, si vous avez cette voix en vous qui vous pousse à agir, ne baissez pas les bras, croyez en vous. » Nicholle Kobi.

MICHELLE WIE WEST

M

ichelle Wie West a accueilli sa fille Makenna le 19 juin 2020. La championne de l’US Open féminin de golf estime que les obstacles liés à ses blessures, rencontrés tout au long de sa carrière de joueuse (comme une main droite réparée chirurgicalement et des blessures au cou, au dos, à la hanche, au genou et à la cheville) ont finalement rendu ses douleurs de grossesse et son travail plus faciles.

« Lorsque nous [son mari Jonnie West] avons essayé d’avoir un enfant, je me suis dit : « Mon corps peut-il vraiment faire cela ? Mon corps peut-il vraiment vivre une grossesse ? », dit Wie West. « J’avais subi tellement de blessures, tellement de problèmes, que j’espérais vraiment que mon corps s’en sortirait et qu’il traverserait une grossesse et un accouchement en bonne santé. Je me suis sentie si accomplie après. J’ai définitivement une meilleure appréciation de mon corps et une meilleure compréhension de celui-ci ».

L’HÔTEL A-STAY

UN SEJOUR INTIME ET CONVIVIAL

L’hôtel A-Stay est à la pointe de la technologie, d’où vient ce concept d’innovation ?
L’idée est venue de Ben Van Loo, homme d’affaire anversois qui a voulu s’intéresser à la tranche d’âge des millenials. On ne voulait pas faire de technologie au nom de la technologie, on a très vite identifié le fait que les nouveaux voyageurs souhaitent se servir eux-mêmes et être architecte de leur séjour. La deuxième chose, c’est la modularité grâce à la technologie : chez A-Stay, on paye uniquement ce que l’on consomme. Cela permet de se servir comme on veut quand on veut mais aussi d’adapter l’offre, dans les chambres : vous pouvez changer la lumière, la température, surfer sur Netflix sur un écran de très bonne qualité, la technologie permet aussi cela. Il y a également la phase cachée de l’iceberg, on essaie de viser l’excellence opérationnelle de l’établissement.

Pourquoi choisir Anvers pour l’ouverture ?

Il y a un très grand ancrage local dans tout ce qui est immobilier. Ben Van Loo a grandi tout prêt d’ici et on connait très bien la ville d’Anvers. On a eu l’occasion d’acheter ce terrain qui est parfaitement situé. On veut des villes très métropolitaines, à Anvers il y a beaucoup d’Hollandais, d’Allemands, de Français. On vise leCsREjeDuITnPeHsOvTOoyageurs qui veulent un service convenable à un prix abordable, ce segment-là n’était pas du tout saturé à Anvers.

Vous mettez en valeur les artistes locaux pour le décor, à part ça, comment est-ce que vous choisissez vos partenariats ?
Locaux, c’est un critère en effet. La deuxième chose est la durabilité qui est très importante pour nous. Dans durabilité il y a les 3 P : People Profits Planet. People pour l’interaction humaine, nos salades viennent d’à quelques centaines de mètres d’ici. Charlotte Decot qui a peint le mur vient de la ville d’Anvers ça c’est la partie ancrage local et contact personnel. La deuxième chose c’est la durabilité, on veut des produits de bonne qualité. La plupart des produits sont faits localement et on a fait l’exercice d’aller voir l’origine du produit. Profitabilité, si vous regardez les prix du « food and beverage » et les prix de la nuitée, on essaie d’être vraiment honnête. On veut être profitable par la qualité et par le volume, pas par la marge, on préfère avoir un prix très abordable et vendre plus que vendre très peu à un prix élevé.

Pouvez-vous nous en dire plus sur ces valeurs écologiques ?
Ça commence par où nous choisissons l’emplacement de nos bâtiments, toujours très proche des transports en commun. La 2ème chose, la conception du bâtiment, nous cherchons à ce que chaque bâtiment soit certifié BRIAM. C’est un label de durabilité international, on cherche au minimum le niveau « Very good ». Ça se reflète dans le choix des matériaux, leur origine, leur certification, dans l’utilisation d’énergies renouvelables, à Diegem on aura énormément de panneaux solaires. Les locaux qui travaillent connaissent la ville, c’est aussi une forme de durabilité et de proximité importante.

Quel genre d’événements allez-vous abriter au sein de l’hôtel ?
On cherche des événements qui connectent les gens qui dorment ici et les gens qui vivent dans le quartier. Ça peut être parfois « Faites vous-même votre cocktail », faire une « Barbecue party » dans le jardin extérieur. On songe aussi à faire, par exemple, des « Tour guide by jogging » c’est visiter la ville en faisant un jogging le matin. Notre marque de fabrique c’est d’être connecté localement donc dans chaque A-Stay vous allez vous y reconnaître au point de vue des technologies, mais il sera propre au quartier dans lequel il est ancré.

LA GRIVOISERIE

RESTAURANT

Comment est née la Grivoiserie ?

Je suis Thibaut, Chef cuisinier et moi Dimitri qui m’occupe de l’accueil et de la salle. Nous avons ouvert notre restaurant le 9 Mars dernier. Petite subtilité la Grivoiserie est à la fois la combinaison de nos deux noms mais aussi la concrétisation de notre belle amitié.

Comment avez-vous vécu professionnellement la période du confinement ?
Nous avons réouvert la Grivoiserie le 11 mai dernier, uniquement pour la vente à emporter au vu du contexte sanitaire. Les gens du quartier sont rapidement venus nous voir et nous ont apporté leur soutien. Une sorte « d’énergie solidaire » s’est alors créée autour de nous et nous avons pu nous faire connaître. Au-delà de cet aspect solidaire très encourageant pour nous, nous pensons que les gens du quartier venaient comme tout le monde de passer un moment compliqué avec le confinement, et qu’ils étaient très heureux également de retrouver un peu de vie et de chaleur humaine via leurs commerçants de quartier, le plaisir de « presque » retourner au restaurant.

"Petite subtilité la grivoiserie est à la fois la combinaison de nos deux noms mais aussi la concrétisation de notre belle amitié.."

Le déconfinement a dû être une délivrance pour vous ?

Depuis la réouverture officielle, nous avons eu l’immense chance de pouvoir disposer d’une petite terrasse éphémère qui nous permet de recevoir une vingtaine de clients par service (ce qui est exactement la jauge de notre restaurant à la base – 22 couverts). Nous avons aménagé cette terrasse, en essayant de la rendre agréable, accueillante et que les clients puissent s’y sentir bien.

Cette situation inédite nous a aussi poussé à nous réinventer. En effet, nous avons décidé de proposer tous les jours de nouveaux plats et de proposer des prix plus doux. Nous  changeons donc tous les jours nos menus, ce qui en soi nous donne un travail supplémentaire (courses, préparation en cuisine, accords avec les vins de la carte…) mais ce nouveau fonctionnement porte ses fruits et attire tous les jours un peu plus de monde. En effet, depuis la mi-juin les clients sont vraiment au rendez-vous, et nous sentons que nos efforts ont bien payé… Le bouche-à-oreille a fonctionné dans le quartier et nous accueillons tous les jours de nouveaux clients mais aussi nos tous premiers habitués. C’est un vrai plaisir de faire fonctionner ce lieu que nous venions finalement tout juste d’appréhender et d’y prendre enfin nos marques pour, nous l’espérons, un bon moment !

"LE BOUCHE-A-OREILLE A FONCTIONNE DANS LE QUARTIER"

DELY FLEURS

DÉCORATION FLORALE

Un projet à réaliser dans le domaine de l’évènementiel et en recherche d’un prestataire pour vous aider dans cette mise en oeuvre ?

Tout est possible avec l’atelier Dely fleurs, spécialiste de la décoration florale en mariage, en évènement privé et professionnel. Situé à 20 minutes de Paris, à Longpont sur Orge dans le 91, vos rêves les plus fous prendront solidement forme entre les mains de cet expert de 20 ans. « Avide de nouveautés, toujours en quête de nouvelles idées, nous aimons vous surprendre en vous proposant des compositions florales des plus créatives et des plus originales. Quelques soit votre sensibilité, nous réalisons pour vous des compositions uniques qui répondront à vos attentes dans le design floral. »

Un positionnement gage d’étonnement et de satisfaction. De plus, pour vous accueillir au mieux et vous accompagner dans vos choix, une équipe de professionnels est mise à votre disposition afin de vous offrir une écoute active.

Des planifications de rendez-vous en atelier vous permettront de visualiser lors d’une démonstration tout le savoir-faire de Dely fleurs comme la composition de votre bouquet de mariée ou encore la décoration de votre salle de réception. Quelque soit l’évènement, défilés haute couture, séminaires, soirées privées, expositions, concerts, vitrine boutique, abonnement floral d’hôtels, spectacles, quelque soit la nature de l’occasion, Dely fleurs donnera vie à vos envies .

Retrouvez l’atelier Dely Fleurs 52 rue du Perray
91310 Longpont sur Orge

"Avide de nouveautés, toujours en quête de nouvelles idées, nous aimons vous surprendre en vous proposant des compositions florales des plus créatives"