CHLOÉ JACOB

Guitariste chanteuse

" Elle se met à chanter à l’âge de 12 ans et décide d’en faire son métier"

Chloé Jacob, née à Lyon le 13 Mars 1997, déménage très rapidement dans le sud de la France à proximité de Sète, là où elle a grandi. En 2020, Chloé emménage à Paris pour faire de la musique. À l’âge de 5 ans Chloé décide de faire de la guitare, par la suite elle se mets à chanter à l’âge de 12 ans et décide d’en faire son métier. Elle a pu accompagner à la guitare des artistes de la scène française comme Florent Pagny sur ses promos TV ( the Voice, C à vous …) Compositrice-interprète, en 2020 elle sort son premier EP de 3 titres , aux sons pop rock et nouvelle chanson française.

TINA LY

chanteuse

Tina Ly,  20 ans de carrière musicale et femme épanouie  ! A l’occasion de ses 20 ans carrières, la jolie artiste guyanaise Tina Ly a offert à son public, en octobre dernier,  un tout nouveau single en featuring avec Jude Delouches du groupe haïtien VAYB. Un duo, une belle balade tropicale aux rythmes du zouk et du kompa et un refrain original. Née le 4 mai 1979,  d’un père métropolitain et d’une mère vietnamienne, Tina grandit en Guyane. Attachée à ce territoire, la belle est dans son coeur guyanaise et tient à se rendre dans son pays natal tous les trois ans. Des racines fortes, un amour pour la musique suscitée par son père et son frère, tous deux auteurs compositeurs, construisent l’artiste et l’amène dès l’âge de huit ans sur les plateaux télévisés  et des podiums  sur lesquels elle interprète les autres morceaux  composés par son père. « Fallait te quitter pour apprendre à rêver, fallait te quitter pour apprendre à m’aimer » des paroles signant  la reconnexion à soi et à la positive attitude. Un texte universel à la portée de tous. Au-delà de la souffrance qu’elle peut engendrer, la rupture sentimentale  serait bénéfique. Tout est une question de conception. Se séparer pour mieux se retrouver. Une dynamique originale et moderne chantée par les deux artistes, très éloignée du traditionnel zouk love, « je t’aime, ne me quitte pas, je ne peux vivre sans toi ». Après  Tina en 2001, Dis moi tout en 2003, Couleurs du monde en 2009, place à 2020 avec une douceur sucrée « Fallait te quitter » … pour mieux me retrouver pourrait-on ajouter.

NICHOLLE KOBI

Illustratrice - designer

Son nom peut vous être encore inconnu, mais ses œuvres ne passent jamais inaperçues. Vous les avez sans doute remarquées, ces jolies femmes noires mises en scène sur papier glacé et immortalisées dans les actes de leur vie quotidienne. Accomplie, branchée et moderne, cheveux au vent, la femme Kobi est conquérante, épanouie, glamour. Seule, en couple, avec enfants ou entre copines, Miss Kobi est active, positive, prend soin de sa personne et est représentative de la femme moderne. Mais qui se cache derrière ces personnages charismatiques ? Originaire du Congo Kinshasa, après une enfance passée en Normandie, à Paris, notre belle illustratrice franco-congolaise prendra la direction définitive de New-York pour promouvoir ses œuvres et développer sa créativité. En quelques clics sur Internet, entrez dans l’univers Kobi. Une artiste engagée auprès de la femme noire. S’il est bien connu que les enfants prennent pour modèles ceux présentés, la petite Nicholle se nourrit dès son plus jeune âge des femmes du magazine Amina qu’elle prend plaisir à reproduire en un coup de crayon.

Les années passent. Toujours aussi passionnée par le dessin, la jeune femme commence des études en histoire de l’art. Seul ombre au tableau, ses professeurs jugent ses croquis peu vendeurs car représentant une minorité. Abattue, Nicholle se réfugie dans le secteur bancaire pendant près de 10 ans sans oublier sa passion pour le dessin.

"Une artiste engagée auprès de la femme noire."

Le temps de la révélation.

En arrêt maladie pendant sa troisième grossesse, un déclic… Interpellée par l’image sexualisée et caricaturale de la femme noire dans les médias, Nicholle sur un coup de crayon revient à ses premiers amours en redessinant les contours de cette femme si familière. Exit l’image sexualisée et clichée, place à la femme entrepreneure, cultivée, forte, en couple, audacieuse et heureuse. Inspirée par le sujet et créative, ce seront pas moins de 4 à 6 dessins postés par jour sur Instagram. Utiliser l’art comme vecteur de communication mondial pour représenter dans toute sa splendeur, la spécificité, les caractéristiques, le naturel et casser le cliché réducteur de la femme noire, tel est l’engagement personnel pris par Nicholle. Ému par ce nouveau visage et cette revalorisation, le travail de Nicholle est très vite remarqué et plébiscité de tous. Suivi aujourd’hui par plus de 140 000 abonnés sur Instagram, devenue à elle seule un symbole, une marque, l’empire Kobi ne cesse de croître et de diffuser son essence à travers le monde au travers de vêtements et d’objets fonctionnels divers (mugs, totes-bag, trousses) . Invitée au grands défilés de mode à Paris, organisatrice d’expositions, partenaire pour les plus grands magazines américains (Essence magazine) et des studios de télévision ABC, plus que jamais, le concept Koby plaît et conquit au fur et à mesure tous les cœurs même ceux qui étaient au départ les plus réfractaires. « Ne baissez pas les bras, si vous avez cette voix en vous qui vous pousse à agir, ne baissez pas les bras, croyez en vous. » Nicholle Kobi.

MICHELLE WIE WEST

M

ichelle Wie West a accueilli sa fille Makenna le 19 juin 2020. La championne de l’US Open féminin de golf estime que les obstacles liés à ses blessures, rencontrés tout au long de sa carrière de joueuse (comme une main droite réparée chirurgicalement et des blessures au cou, au dos, à la hanche, au genou et à la cheville) ont finalement rendu ses douleurs de grossesse et son travail plus faciles.

« Lorsque nous [son mari Jonnie West] avons essayé d’avoir un enfant, je me suis dit : « Mon corps peut-il vraiment faire cela ? Mon corps peut-il vraiment vivre une grossesse ? », dit Wie West. « J’avais subi tellement de blessures, tellement de problèmes, que j’espérais vraiment que mon corps s’en sortirait et qu’il traverserait une grossesse et un accouchement en bonne santé. Je me suis sentie si accomplie après. J’ai définitivement une meilleure appréciation de mon corps et une meilleure compréhension de celui-ci ».

ALEX MORGAN

Alex Morgan, membre de l’équipe nationale féminine de football des Etats-Unis et attaquante de l’Orlando Pride, a dû se rappeler  continuellement alors que son premier né, sa fille Charlie, grandissait.

Bien qu’active pendant toute la durée de sa grossesse, Morgan voyait ses temps de parcours ralentir et sa production diminuait dans ses cours de cycling à mesure qu’elle progressait dans sa grossesse. En tant qu’athlète professionnelle qui a toujours poussé son corps à ses limites avant la grossesse, la médaillée d’or olympique parle de l’importance de prendre du recul et de savourer le processus d’entraînement pendant la grossesse : « Non seulement j’ai dû faire un changement physique, mais j’ai aussi dû faire un changement mental pour me dire « c’est bon », dit Morgan. « En tant qu’athlète, vous voulez voir des résultats. Vous voulez continuer à progresser. Tout au long de ma grossesse, j’ai dû cesser de me dire : « Mon endurance empire » ou « Je me fatigue plus facilement » pour me dire : « Je suis en train de mettre au monde un bébé, alors pardonnez-vous et pardonnez à votre corps, et profitez vraiment de ce moment ».