NICHOLLE KOBI

Illustratrice - designer

Son nom peut vous être encore inconnu, mais ses œuvres ne passent jamais inaperçues. Vous les avez sans doute remarquées, ces jolies femmes noires mises en scène sur papier glacé et immortalisées dans les actes de leur vie quotidienne. Accomplie, branchée et moderne, cheveux au vent, la femme Kobi est conquérante, épanouie, glamour. Seule, en couple, avec enfants ou entre copines, Miss Kobi est active, positive, prend soin de sa personne et est représentative de la femme moderne. Mais qui se cache derrière ces personnages charismatiques ? Originaire du Congo Kinshasa, après une enfance passée en Normandie, à Paris, notre belle illustratrice franco-congolaise prendra la direction définitive de New-York pour promouvoir ses œuvres et développer sa créativité. En quelques clics sur Internet, entrez dans l’univers Kobi. Une artiste engagée auprès de la femme noire. S’il est bien connu que les enfants prennent pour modèles ceux présentés, la petite Nicholle se nourrit dès son plus jeune âge des femmes du magazine Amina qu’elle prend plaisir à reproduire en un coup de crayon.

Les années passent. Toujours aussi passionnée par le dessin, la jeune femme commence des études en histoire de l’art. Seul ombre au tableau, ses professeurs jugent ses croquis peu vendeurs car représentant une minorité. Abattue, Nicholle se réfugie dans le secteur bancaire pendant près de 10 ans sans oublier sa passion pour le dessin.

"Une artiste engagée auprès de la femme noire."

Le temps de la révélation.

En arrêt maladie pendant sa troisième grossesse, un déclic… Interpellée par l’image sexualisée et caricaturale de la femme noire dans les médias, Nicholle sur un coup de crayon revient à ses premiers amours en redessinant les contours de cette femme si familière. Exit l’image sexualisée et clichée, place à la femme entrepreneure, cultivée, forte, en couple, audacieuse et heureuse. Inspirée par le sujet et créative, ce seront pas moins de 4 à 6 dessins postés par jour sur Instagram. Utiliser l’art comme vecteur de communication mondial pour représenter dans toute sa splendeur, la spécificité, les caractéristiques, le naturel et casser le cliché réducteur de la femme noire, tel est l’engagement personnel pris par Nicholle. Ému par ce nouveau visage et cette revalorisation, le travail de Nicholle est très vite remarqué et plébiscité de tous. Suivi aujourd’hui par plus de 140 000 abonnés sur Instagram, devenue à elle seule un symbole, une marque, l’empire Kobi ne cesse de croître et de diffuser son essence à travers le monde au travers de vêtements et d’objets fonctionnels divers (mugs, totes-bag, trousses) . Invitée au grands défilés de mode à Paris, organisatrice d’expositions, partenaire pour les plus grands magazines américains (Essence magazine) et des studios de télévision ABC, plus que jamais, le concept Koby plaît et conquit au fur et à mesure tous les cœurs même ceux qui étaient au départ les plus réfractaires. « Ne baissez pas les bras, si vous avez cette voix en vous qui vous pousse à agir, ne baissez pas les bras, croyez en vous. » Nicholle Kobi.

MICHELLE WIE WEST

M

ichelle Wie West a accueilli sa fille Makenna le 19 juin 2020. La championne de l’US Open féminin de golf estime que les obstacles liés à ses blessures, rencontrés tout au long de sa carrière de joueuse (comme une main droite réparée chirurgicalement et des blessures au cou, au dos, à la hanche, au genou et à la cheville) ont finalement rendu ses douleurs de grossesse et son travail plus faciles.

« Lorsque nous [son mari Jonnie West] avons essayé d’avoir un enfant, je me suis dit : « Mon corps peut-il vraiment faire cela ? Mon corps peut-il vraiment vivre une grossesse ? », dit Wie West. « J’avais subi tellement de blessures, tellement de problèmes, que j’espérais vraiment que mon corps s’en sortirait et qu’il traverserait une grossesse et un accouchement en bonne santé. Je me suis sentie si accomplie après. J’ai définitivement une meilleure appréciation de mon corps et une meilleure compréhension de celui-ci ».

ALEX MORGAN

Alex Morgan, membre de l’équipe nationale féminine de football des Etats-Unis et attaquante de l’Orlando Pride, a dû se rappeler  continuellement alors que son premier né, sa fille Charlie, grandissait.

Bien qu’active pendant toute la durée de sa grossesse, Morgan voyait ses temps de parcours ralentir et sa production diminuait dans ses cours de cycling à mesure qu’elle progressait dans sa grossesse. En tant qu’athlète professionnelle qui a toujours poussé son corps à ses limites avant la grossesse, la médaillée d’or olympique parle de l’importance de prendre du recul et de savourer le processus d’entraînement pendant la grossesse : « Non seulement j’ai dû faire un changement physique, mais j’ai aussi dû faire un changement mental pour me dire « c’est bon », dit Morgan. « En tant qu’athlète, vous voulez voir des résultats. Vous voulez continuer à progresser. Tout au long de ma grossesse, j’ai dû cesser de me dire : « Mon endurance empire » ou « Je me fatigue plus facilement » pour me dire : « Je suis en train de mettre au monde un bébé, alors pardonnez-vous et pardonnez à votre corps, et profitez vraiment de ce moment ».

COMMENT GÉRER LA CRISE D’ADOLESCENCE ?

Entre 11 et 19 ans, vous allez voir apparaître des changements chez votre enfant. Il entre dans une période compliqué, aussi bien pour lui que pour

vous : la crise d’adolescence. Voici donc quelques conseils pour gérer la crise d’adolescence de votre enfant.

COMPRENDRE LA CRISE

Si votre enfant change, c’est normal. L’adolescence est une période de transition entre l’enfance et l’âge adulte, il remet alors tout en question : sa personnalité, son avenir, le monde qui l’entoure. L’adolescent part à la recherche de sa propre identité, et pour cela, il fait des expériences, qui ne sont pas toujours bonnes. Les difficultés relationnelles naissent à cause du fait qu’il se renferme généralement sur lui-même, pensant que les adultes « ne comprennent rien ».

Le dialogue est important dans la relation avec l’adolescent. Mais il faut s’y prendre avec beaucoup de patience, car certains sont très susceptibles et ont du mal à communiquer. Amener la conversation de façon progressive : « J’aimerais te parler quand tu auras un moment de libre », « Je voudrais te parler de tel sujet, il n’y a pas de problème, mais dis-moi quand tu voudras » par exemple. De même qu’il faut peser chaque mot que vous employez, au risque de le froisser et de couper court au dialogue. Certains sujets sont plus difficiles à aborder, comme l’alcool, la drogue ou la sexualité, donnez-lui votre point de vue sur ces sujets « tabou ».

TROUVER DES COMPROMIS

Il est important de poser des limites afin que l’adolescent puisse construire son identité en toute sécurité. Tout est négocié avec les adolescents : heures de sorties, argent de poche… Tentez de trouver un terrain d’entente en lui demander ce qu’il en pense. Si vous êtes en désaccord, argumentez vos raisons. Les explications tiennent un rôle important dans le dialogue pour que votre enfant comprenne pourquoi vous n’êtes pas d’accord. Les compromis sont également des témoignages de la confiance que vous lui accordez, et peuvent permettre d’éviter la plupart des conflits.

RELATIVISER

Il ne faut pas oublier que la crise d’adolescence est éphémère. Il est normal que l’adolescent cherche à « dépasser les limites », cela lui permet de faire ses propres expériences et idées sur le monde adulte. L’honnêteté est très importante dans la relation avec un adolescent, lui mentir ne ferait qu’ « aggraver » sa situation déjà compliquée car il se sentirait trahi. Optez donc pour des discussions calmes afin de ne pas entrer en conflit avec votre adolescent. Relativisez, si vous l’avez traversée, votre enfant peut le faire aussi

ÉLODIE MESCHI

Femme passionnée et engagée qui aime faire bouger les lignes, femme bâtisseuse ou encore femme de challenge comme elle se définit mais surtout ex-joueuse internationale française de basketball et aujourd’hui à la tête de la start-up « Sportail Community ».

Peux-tu te présenter et nous parler de ton parcours ?

Je suis Élodie Meschi. J’ai grandi à Nice avec mes trois grandes sœurs. Après avoir passé mon bac, j’ai déménagé à Paris pour mes études à l’université Paris Diderot et ai décidé au bout de deux ans de les arrêter pour me consacrer à la mode et aux réseaux sociaux. Grâce à cela j’ai pu voyager, découvrir le Portugal, l’Italie, I’Inde, le Canada tout en ayant un job dans la restauration.

Qu’est ce qui t’a particulièrement plu dans le milieu de la mode ?
Ce qui me plait c’est le fait de pouvoir s’exprimer à travers des tenues, des créations. J’ai rencontré beaucoup d’artistes, de personnes passionnées et inspirantes. Créer des photos et des vidéos me passionne.

"Je veux rendre le monde meilleur, plus heureux, plus sain et plus serein."

Peux-tu nous décrire ton univers, les valeurs que tu véhicules ?

Mon univers est plutôt positif. Tout tend à être beau et joyeux, parfois cela me porte préjudice car ma vision n’est pas le même que celle de la société dans laquelle ont vit. Je veux rendre le monde meilleur, plus heureux, plus sain et plus serein. Mes valeurs iraient dans ce sens. Le respect et la bonne humeur sont deux choses que j’adore. Je parle du respect entre être humains mais aussi envers les animaux (je suis vegan) et envers la planète ! Ça peut nous prendre avec Laura (ma sœur) qu’un jour on décide de faire le tour du quartier et ramasser tous les déchets par exemple. Pour ce qui est du veganisme, c’est un choix personnel que je n’imposerais à personne. Je veux juste partager un mode de vie plus sain, se nourrir plus sainement car nous sommes ce que l’on mange et plus on mange sain plus on l’est et plus on est respectueux. Manger sain est un état d’esprit. Le respect est aussi très important pour moi. J’adore être gentille car j’ai pris conscience que la gentillesse rend la vie plus facile. Être gentille ne veut pas dire se laisser marcher sur les pieds mais respecter son prochain. J’ai passé cinq mois en Inde, et c’est là-bas que j’ai appris à relativiser sur la vie. En Europe, on a déjà tout, on oublie parfois la réalité. Il faut se rappeler qu’on est très chanceux et que, malheureusement, tout le monde n’a pas ce que l’on a. Donc j’ai appris à être plus reconnaissante.

A quoi ressemble ton quotidien ?

Je travaille dans la restauration à côté de ce que je fais. Mes journées se résument à aller travailler et à combiner la création de contenu sur les réseaux sociaux : faire des photos et des vidéos (devant et derrière la caméra), découvrir des restaurants sains que je peux partager et surtout rigoler et profiter de chaque instant.

Pourquoi as-tu accepté de poser pour la marque Beauté Insolente ?

Je connaissais déjà la marque grâce à ma sœur Laura, qui est apparue dans le magazine FDF N°6. J’ai tout de suite accepté car Stephanie m’a expliqué que ça allait être un shoot qui mettait en avant 4 types de cheveux différents grâce à 4 filles d’origines différentes. L’idée est géniale et le résultat est juste magnifique. Je trouve très important de rappeler que même si le type de cheveux est différent (comme la couleur de la peau), nous avons tous un cœur pour aimer et que l’on se doit de l’utiliser.